Zoli de Collum McCann

Zoli
Collum McCann

4ème de couverture

Tchécoslovaquie, 1930. Sur un lac gelé, un bataillon fasciste a rassemblé une communauté tzigane. La glace craque, les roulottes s'enfoncent dans l'eau. Seuls en réchappent Zoli, six ans, et son grand-père, Stanislaus.

Quelques années plus tard, Zoli s'est découvert des talents d'écriture. C'est le poète communiste Martin Stránský qui va la remarquer et tenter d'en faire une icône du parti. Mais c'est sa rencontre avec Stephen Swann, Anglais exilé, traducteur déraciné, qui va sceller son destin. Subjugué par le talent de cette jeune femme, fasciné par sa fougue et son audace, Swann veut l'aimer, la posséder. Mais Zoli est libre comme le vent.

Alors, parce qu'il ne peut l'avoir, Swann va commettre la pire des trahisons...

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Il est rare que je ne termine pas un livre mais avec celui ci, je n'ai pas pu continuer !

Il tire énormément en longueur. Même quand il s'agit des actions on a l'impression de regarder un film au ralenti. En outre il y a très peu de dialogue ( il faut le dire, j'adore le dialogue).

Pour ce qui est de la narration, elle ne m'a pas transportée. Quand l'auteur parle des sentiments on ne s'envole pas, et je dirai même qu'on se demande s'il parle bien d'amour.
 
Cet avis n'engage que moi car peut être aimez vous les romans un peu "platoniques". Quoi qu'il en soit je n'ai pas adhérer et je n'ai pas pu continuer.